Un livre un film Musique ( page7)
Un livre, un film : Eragon
Eragon était un garçon de quinze ans qui vivait
dans un village éloigné de la ville, tranquillement.
Un jour, il trouva sur la Crête (chaîne de
montagnes) une pierre étrange, plus dure que le
diamant. Il découvrit plus tard que cette pierre
était un oeuf de dragon…
Une nuit, il entendit des gémissements provenant
de celui-ci. Surpris par ce bruit, Eragon tomba du
lit : l’oeuf était en train d’éclore. Un dragon
magnifique sortit : ses écailles était bleu saphir.
En essayant de le toucher, Eragon reçut une
décharge électrique : il trouva plus tard, sur sa
paume, une forme étrange. De là, sa vie bascula.
Mais son oncle fut tué par de mystérieux
monstres… C’est alors que pour se venger Eragon
traversa l’Empire, lutta contre le roi Galbatorix,
instigateur du meurtre, tout aussi mauvais que
ses tueurs.
Brom décida de l’accompagner pour lui
expliquer son destin, dangereux et
exceptionnel : le premier dragonnier. Pour
retrouver la trace des Ra’zacs, Eragon et
Brom rencontrèrent Jeod, un ancien ami de
Brom….
Je ne vous en dis pas plus, car vous pouvez le
voir au cinéma… mais le livre est tellement
mieux… Dans le film, ils ont sauté des
passages, qui sont souvent cruciaux. Je vous
rappelle que le livre fait plus de sept cents
pages.
Moi j’ai beaucoup aimé le livre, dont l’auteur
s’appelle Christopher Paolini. Il existe deux
formats pour le livre : un en poche et un autre
de taille normale (un peu plus cher).
Par Sunil Monany
Musique : la flûte traversière
Je serais apparue en Chine, puis en Occident
au Moyen Age (XIIe siècle). Cependant, on ne
me décrit qu’à partir du XVIe siècle, période à
laquelle on m’appelait « flûte d’allemand ».
Dans la seconde moitié du XVIIe siècle, Lully
m’introduit dans l’orchestre d’opéra et à partir
du XVIIIe siècle, je me vois assigner une
fonction importante de soliste, en raison de
ma sonorité diaphane et de mon agilité.
Je suis en métal, après avoir été en os et en
bois, et je comprends 3 morceaux : la tête
(avec l’embouchure), le corps (qui comporte
des clefs sur lesquelles on appuie avec les
doigts pour boucher des trous afin de produire
différentes notes) et la patte (qui comporte
également plusieurs clefs). Au moins 300
pièces sont nécessaires à ma fabrication. Je
peux être également en argent, en or, en
platine et même en cristal.
J’appartiens à une famille d’instruments
allant du plus aigu au plus grave :
· Le piccolo, en ut : Aussi appelé « petite
flûte », il est l’instrument le plus petit de
ma famille (environ 30cm).
· La flûte alto, en sol : Elle me ressemble
beaucoup, mais elle est plus longue.
· La flûte basse, en ut : Elle est également
plus longue et son embouchure est
recourbée pour que le flûtiste puisse
atteindre les clefs.
· La flûte octobasse, en ut : Elle est
beaucoup plus grosse que la flûte basse,
elle a un long tube recourbé. On en
compte qu’une vingtaine en Europe.
par Lucie Nzonza
1 Comments:
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